« Toujours le grain de l’être » – 1999
De dos ou de face
le corps s’offre
au grain du jour
comme si la peau
savait absorber
un rien de joie
Silhouette rompue
au silence
sans partage
ou à la nudité
qu’il faut
pour se recueillir
Et l’on se repose
dans l’or fluide
de la lumière
là où la beauté
tient le noir
en respect