L’œil éphémère – Pont Scorff – 2008
Ombres portées et graphismes – bougies, cloches de porcelaine, roue de bicyclette, farine
Outre la relation à l’espace, la relation au temps est inhérente à ce travail. L’œil doit s’habituer à la pénombre, le regard doit prendre le temps de découvrir la mise en espace des images, de même l’oreille va prendre le temps de l’écoute d’une bande sonore. Ce travail emprunt d’une certaine sérénité va conduire le spectateur au calme et parfois même à la méditation.