De bleu, d'or et de lumière. les deux séries qui peuvent sembler à première vue bien différentes- et elles lle sont du point de vue de la couleur – participent en fait du même intérêt de l'auteur pour la chorégraphie et la lumière. Ruptures, déformations, jeux d'ombres et de couleurs, le tout inscrit dans des cadrages très serrés, animent un univers comme en apesanteur… D'un espace elle fait un événement, d'un corps, un lieu d'errance.
Le Progrès – 21 décembre 1994
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